Mordu de science et excellent vulgarisateur, Malik Chaker-Margot revient dans son «alma mater» pour enseigner au Département de biochimie et médecine moléculaire.
En lisant le résumé de ses champs d’intérêt et de ses compétences, on découvre que Malik Chaker-Margot parle plusieurs langues. Outre le français et l’anglais, il connaît l’espagnol, l’italien, l’allemand et apprend le japonais.
Mais le langage que le nouveau professeur adjoint maîtrise le mieux demeure celui de la biologie structurale au vocabulaire complexe: cryomicroscopie électronique, cristallographie, signalisation cellulaire, acides nucléiques, structure des RNP, petites GTPases…
Des mots qui, à travers ses explications, prennent toute leur signification. «La biologie structurale permet de voir les interactions moléculaires à très petite échelle au moyen d’une technique physique, que ce soit la microscopie électronique ou la cristallographie. Comme je suis visuel – j’ai besoin de voir pour comprendre –, cette discipline m’a attiré», dit-il.
C’est à l’occasion d’un stage sous la supervision du professeur James G. Omichinski, effectué au cours de son baccalauréat en biochimie et médecine moléculaire à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal, en 2012, que l’étudiant va découvrir l’univers de la biologie structurale.
Une passion était née.
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