Il règne une douce ambiance de printemps sur le campus. Et pas seulement parce que le beau temps est de retour et que le trimestre d’hiver s’est achevé. Avec la levée de l’obligation du port du masque et la reprise des activités en présentiel, c’est toute la communauté facultaire qui a le cœur à la fête!
À commencer par notre belle relève. Après une longue attente – pandémie oblige –, la cérémonie du sarrau s’est déroulée sous un ciel radieux, le 1er mai. C’est avec une immense fierté que nos nouveaux étudiants et étudiantes ont été « intrônisés » lors de ce rite de passage chargé de sens, qui marque le début d’une stimulante et prometteuse carrière en santé. Leurs sourires en images valent mille mots.
Le mois de mai a aussi été faste pour notre corps professoral et nos équipes de clinique et de recherche. La récolte spectaculaire de prix célèbre le couronnement de leur carrière, tant scientifique qu’en enseignement, de même que leur engagement dans la société (voir notre rubrique Prix et distinctions).
Par ailleurs, la deuxième édition du Symposium Santé, science et société de la Faculté de médecine a été l’occasion de mettre en valeur des membres de notre réseau de centres affiliés qui contribuent à l’avancement de la transplantation et du don d’organes. À cet effet, vous pouvez voir en rattrapage la conférence grand public sur le don d’organes et lire un portrait.
Autre réalisation, cette fois en responsabilité sociale, le lancement de notre plan d’action pour favoriser l’accès des Autochtones aux professions de la santé, qui s’est tenu en Mauricie. Ce plan est l’aboutissement de plusieurs années de travail mené sur le terrain par nos professeurs et nos cliniciens, en étroite collaboration avec nos partenaires autochtones. Comme doyen, je me réjouis de ce projet qui vise à faciliter l’intégration des étudiantes et étudiants autochtones, à leur assurer une formation de qualité et à accroître leur représentativité dans les différentes professions de la santé.
Voilà autant de raisons de célébrer et de profiter du printemps!
Patrick Cossette, Doyen