Une équipe du CHU Sainte-Justine, menée par Graziella Di Cristo, a fait une percée importante pour le traitement des personnes souffrant de symptômes associés à un stress post-traumatique.
Pourrait-on augmenter temporairement la plasticité du cerveau adulte pour diminuer la peur et les réactions anxieuses chez les personnes ayant subi une expérience traumatique? C’est le pari qu’a fait une équipe de recherche menée par Graziella Di Cristo, spécialiste en neurosciences au CHU Sainte-Justine. Dans une nouvelle étude réalisée sur des souris, elle a réussi à limiter les réactions de peur en provoquant une désensibilisation aux souvenirs de peur simultanément à une augmentation temporaire de la malléabilité du cerveau grâce au contrôle de l’activation d’un gène. Il s’agit d’une percée importante pour le traitement efficace des personnes souffrant de symptômes associés à un stress post-traumatique.
Les résultats de cette étude ont été publiés le 2 mai dans la revue Molecular Psychiatry.
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