Le 24e Gala Forces Avenir, qui s’est tenu le 27 septembre au Capitole de Québec, a révélé autant de projets aux retombées positives pour la société que de personnalités d’influence qui veulent améliorer le monde. Layla Dehbidi Assadzadeh figure parmi les finalistes qui ont brillé par ses actions d’engagement étudiant.
Finaliste Personnalité 1er cycle, programme Université, catégorie AVENIR (2000 $)
Étudiante en 4e année à la Faculté de médecine de l’UdeM, Layla Dehbidi Assadzadeh croit profondément que l’éducation est un outil important pour la promotion de la santé. Cette valeur est au cœur de deux initiatives qu’elle a cocréées avec Arianne Khorasani : Échappe la Vape, qui sensibilise les jeunes aux dangers du vapotage, et Balado Bien-être Ado, une série de balados qui aborde des sujets de santé auprès des jeunes. De concert avec l’AÉÉMUM (Association des étudiantes et étudiants en médecine de l’Université de Montréal) et le REÉM (Réseau d’entraide des étudiant(es) en médecine de l’Université de Montréal, elle a mis sur pied le Comité bien-être à l’externat qui soutient la santé mentale de ses pairs.
Elle nous fait part de ces trois projets qui lui apportent motivation et reconnaissance.
Échappe la Vape : créer une génération sans nicotine
« La richesse de cette initiative, lancée en 2021, réside dans le fait qu’on a réussi à bâtir une équipe d’une cinquantaine d’étudiantes et étudiants en médecine à travers le Québec autour de ce projet. Tout récemment, on a rencontré la Santé publique. Notre démarche prend de l’ampleur. »
Balado Bien-être Ado : de l’information fiable et pertinente pour les jeunes
« Dans un contexte de désinformation, le balado permet aux ados de trouver de l’information rigoureuse liée à la santé, par exemple sur les menstruations, le consentement, la contraception ou l’identité de genre. En adoptant une approche de proximité et d’accompagnement, sans jugement, on espère gagner la confiance des jeunes. »
Le Comité bien-être à l’externat : préserver la santé mentale de la communauté
« Ce comité organise des activités de bien-être pour les externes. Les médecins et les professionnels de la santé sont vulnérables au suicide. Il faut donc faire attention à la santé mentale et au bien-être de notre communauté pendant notre cursus qui peut s’avérer long et difficile. »