Un Canadien sur quatre risque de souffrir d’une maladie du foie. Cet organe qui métabolise les nutriments et nettoie le sang est régulièrement malmené par des virus, des toxines, l’alcool, le mode de vie, la génétique et des causes inconnues. La maladie du foie gras non alcoolique, liée à une mauvaise alimentation et à l’obésité, est la pathologie la plus répandue, touchant 7 millions de Canadiens (Fondation canadienne du foie). Pour évaluer la sévérité d’un trouble hépatique, la biopsie est souvent requise. Cette intervention est peu appréciée des patients à cause du risque de douleur et de complications hémorragiques. An Tang, professeur au Département de radiologie, radio-oncologie et médecine nucléaire de l’Université de Montréal et chercheur au CRCHUM, propose donc une solution de rechange non invasive : l’analyse de marqueurs biologiques par imagerie médicale.
Lire la suite sur le site du Scientifique en chef