Génomique, cellules souches, culture cellulaire ou cœur artificiel, les chercheurs rêvent du jour où l’on pourra se passer de la greffe d’organe pour réparer ou remplacer le cœur malade.
« La greffe donne une plus grande liberté et une plus grande survie [au patient]. Mais dans un certain nombre d’années, on devrait avoir des « cœurs artificiels » plus performants, qui vont amener une qualité de vie qui sera excellente. » Dr Michel Carrier, chef du Département de chirurgie à l’Institut de cardiologie de Montréal
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