Le lundi 23 février 2015, les membres du Conseil de l’Université ont approuvé à l’unanimité le renouvellement de Dre Hélène Boisjoly au poste de doyenne de la Faculté de médecine pour un nouveau mandat de cinq ans. Lors de son premier mandat, Dre Boisjoly a réalisé plusieurs projets identifiés lors de l’exercice de planification stratégique facultaire 2013-2016.
La communauté a été témoin, entre autres, de plusieurs avancées telles que l’optimisation des sciences fondamentales, la création du Département de neurosciences, la révision du programme médical MD, la création d’un bureau de l’éthique clinique, un tout premier salon étudiant baptisé le Panoramed ainsi qu’une nouvelle clinique universitaire de nutrition rénovée et mieux adaptée à l’enseignement et à sa clientèle. Au cours des quatre dernières années, plusieurs programmes ont reçu une visite d’agrément dont l’ergothérapie, la physiothérapie, la biochimie médicale ainsi que le programme de doctorat en médecine et 57 des programmes de résidence en médecine ainsi que 17 Unités de médecine de familiale (UMF).
« Je suis très heureuse de la confiance témoignée par le Conseil de l’Université. Je me sens aussi privilégiée de travailler avec une équipe de direction et 18 départements et écoles si dynamiques et dévoués à l’avancement de notre mission universitaire. J’ai la chance de pouvoir compter sur des professeurs, des étudiants et des membres du personnel de soutien et d’administration talentueux», a déclaré la doyenne.
Dre Boisjoly a déjà identifié plusieurs enjeux et dossiers qu’elle souhaite mener à bien au cours des prochaines années. La Loi 10 et le projet de loi 20, qui viendront transformer notre réseau de la santé et la pratique de la médecine, sont des défis de taille. De grands efforts seront déployés pour que la faculté puisse continuer à remplir sa mission dans un contexte en constante mutation et dans une période d’austérité financière. D’autres projets tels que la gestion informatique de stages, la réorganisation physique de la recherche sur le campus, le futur plan des espaces facultaires, la recherche de moyens de financement alternatifs ainsi que l’amélioration continue des programmes demanderont l’attention de la direction facultaire et de sa doyenne.
